SIEGE DES ARCHEVECHES DE PROVENCE
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 I Le Mariage

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AuteurMessage
Richelieu1
Cardinal Archevêque d'Aix-en-Provence
Richelieu1


Lieu RP : Brignoles

Feuille de personnage
Nom et prénom: Ludovi de Sabran
Paroisse: Brignoles

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MessageSujet: I Le Mariage   I Le Mariage EmptyMer 13 Avr 2011 - 20:31

Citation :
I Le Mariage Badgecopiepetitcd1
Ad mundi salutem per sanctificationem

Bulle pontificale « Vers le Salut du monde par la Sanctification ».



Partie II : Le sacrement du mariage.

Section A : du sacrement

Article 1 : Le quadriptyque causal :

La cause matérielle = Un homme et une femme fidèles de l’Eglise Aristotélicienne.
La cause efficiente = Tout clerc habilité par sa charge.
La cause formelle = L’office, l’échange des vœux et des alliances.
La cause finale = Une union devant le Très-Haut et les hommes dans le but de fonder une famille et de trouver l’amitié aristotélicienne.

Article 2 : Les préceptes de l’Eglise en matière matrimoniale et la nature même du mariage sont reprises dans le livre 4 sur les doctrines et sacrements de l’Eglise.

Article 3 : Le mariage est la consécration de l'accord profond entre deux personnes, créant une communauté de vie, réputée indissoluble et symbolisant l'Amitié Aristotélicienne dans l'une de ses formes les plus étroite.

Article 4 : Sont seuls habilités à célébrer un mariage, les prêtres ayant une charge cléricale, ainsi que les clercs habilités à donner ce sacrement.

Article 5 : Tout mariage ne peut se faire qu’avec l’autorisation du responsable de la paroisse de chacun des deux futurs époux.

    - Article 5 bis : En cas d’absence de responsable, c’est à l’autorité religieuse locale directement supérieure d’accorder cette autorisation.

Article 6 : Le mariage est célébré dans la paroisse de résidence des fiancés s'ils résident au même endroit, à défaut dans celle de la fiancée.

    - Article 6 bis : Sous réserve de l’autorisation de l’autorité épiscopale locale, le mariage peut se dérouler dans une chapelle familiale domaniale ou nobiliaire d’un ou des futurs époux, ou à la cathédrale du diocèse des fiancés, ou à défaut à celle de la fiancée.

    - Article 6 ter : Tout mariage dans un autre lieu doit se faire avec l'accord préalable de l'évêque en charge du diocèse de résidence des fiancés ou à défaut de la fiancée, ainsi que celui du prélat responsable du lieu souhaité.

    - Article 6 quater : Les mariages célébrés en les basilique et églises romaines doivent faire l’objet de l’accord préalable d’un cardinal. Les mariages célébrés en les cathédrales royales ou impériales sont soumis à l’acceptation du consistoire national compétent ou d'un cardinal, du primat concerné, ou de tout autre autorité jugée ou reconnue compétente.

Article 7 : La présence d’au moins deux témoins, choisis parmi les fidèles, est exigée. L’un représentant le marié, l’autre la mariée. Ils seront les garants devant les hommes de l’acte du mariage.

Article 8 : Le couple doit être formé de deux fidèles non soumis à interdiction.

Article 9 : Les fiancés ne peuvent avoir de lien de consanguinité au quatrième degré ou moins.

Article 10 : Les fiançailles sont officialisées par la publication des bans au minimum quinze jours avant la date du mariage.

    - Article 10 bis : Les bans doivent être publiés par les deux parties, dans l’église Res Parendo de la paroisse de résidence In Gratebus des fiancés , ou de chacune d’elles si ils n’ont pas le même domicile.

    - Article 10 ter : Les publications des bans énoncent les noms et prénoms, le domicile des futurs conjoints, le lieu où se déroulera le mariage et le noms des témoins.

    - Article 10 quater : Si pour une raison quelconque, le couple devait réduire la période de fiançailles, une demande expresse et motivée sera introduite auprès du siège métropolitain compétent par le couple et le clerc officiant. Ce dernier en informera également sa hiérarchie.

Article 11 : Les époux scellent leur union par l’échange des vœux, symbolisé par l’échange des anneaux, devant Dieu et les hommes.

Article 12 : En cas de remariage, le clerc officiant devra constater la validité de l’annulation ou de la dissolution de la précédente union.

Article 13 : Le clerc officiant enregistre l’acte de mariage dans les registres appropriés.

Article 14 : Des cas particuliers et des coutumes locales :

Le droit canon encadre le mariage dans l’optique d’une certaine uniformité dûe à l’unicité de l’Eglise. Toutefois, pour des raisons culturelles ou coutumières, les diocèses ou les provinces sont en droit d’imposer des restrictions supplémentaires à la célébration du mariage, en accord avec le Consistoire Pontifical compétent et après consultation de la Congrégation du Saint office et de la Diffusion de la Foi.


Section B : de l'annulation du sacrement

Article 1 : Toute demande d'extinction, de dissolution ou d'annulation du sacrement du mariage doit passer en première instance devant l'Officialité Épiscopale locale ou compétente.

Extinction du sacrement du mariage.

Article 2 : L’extinction du sacrement du mariage est une procédure automatique ne nécessitant qu’une constatation de l’officialité diocésaine.

Article 3 : L’extinction du sacrement du mariage n’est applicable que dans deux seuls cas :

    - Article 3.1 : Le décès d’un des deux conjoints.

    - Article 3.2 : L’entrée dans les ordres d’un des deux conjoints.

    - Article 3.3 :Lorsque que l’entrée dans les ordres est le motif invoqué, l’extinction du sacrement du mariage implique une suspension définitive des devoirs conjugaux.

    - Article 3.4 : Lorsque que l’entrée dans les ordres est le motif invoqué et qu’il y a eut procréation, l’extinction du sacrement du mariage n’implique pas une suspension des devoirs parentaux.

Article 4 : Lors d’une extinction du sacrement du mariage, le mariage est reconnu valide et légitime, mais ne produit plus d’effets dans le futur. Les effets survenus dans le passé son légitimes et gardent leur pleine légitimité à perpétuité.


Dissolution du sacrement du mariage.

Article 5 : La dissolution du sacrement du mariage est une extinction de ce dernier suite à la décision des époux de se séparer et de mettre fin à leur vie de couple.

Article 6 : Les motifs invoqués pour une dissolution du sacrement du mariage sont :

    - Article 6.1 :La disparition des sentiments amoureux entre les époux,

    - Article 6.2 : L’adultère commis par l’un des deux époux ; le conjoint fautif étant frappé d’interdiction de remariage.

    - Article 6.3 : L’abandon du domicile conjugal par l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois. Le conjoint reconnu coupable de négligence conjugale est passible de l’impossibilité de remariage.

    - Article 6.4 : La disparition de l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois.

Article 7 : La dissolution du sacrement du mariage implique la levée des obligations matrimoniales entre les époux.

Article 8 : En cas de dissolution, et lorsqu’il y a eu descendance, les obligations parentales demeures.

Article 9 : Lors d’une dissolution du sacrement du mariage, le mariage est reconnu valide et légitime, mais ne produit plus d’effets dans le futur. Les effets survenus dans le passé son légitimes et gardent leur pleine légitimité à perpétuité.

Article 10 : Toute demande de dissolution de mariage est déposée devant l'Officialité Episcopale dont le ou les conjoints demandeurs dépendent avant d’être transmise devant le Consistoire Pontifical compétent.

    - Article 10.1 : Il revient à l'Officialité Episcopale de statuer et de publier un avis sur ladite demande, ainsi qu’une peine punitive et expiatoire. Cet avis sera ensuite déposé auprès du Consistoire Pontifical compétent afin d'être validé ou rejeté.

Article 11 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, ont toute autorité quant à la dissolution du sacrement du mariage, à l’imposition d’une peine punitive ou expiatoire, à la révision de celle soumise par l’Officialité, aux interdictions frappant l’un ou les conjoints.

    - Article 11.1 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, sont habilités à réviser leur jugement après douze mois de délai expiatoire.

Annulation du sacrement du mariage.

Article 12 : L’annulation du
mariage reconnaît de facto le mariage comme nul rétroactivement. Il n’a
de ce fait, aux yeux de l’Eglise, jamais existé.


Article 13 : Lors d’une annulation du sacrement du mariage, le mariage est reconnu invalide et illégitime. Les effets survenus dans le passé sont illégitimes et reconnus comme tels de façon perpétuelle.

    - Article 13.1 :Seul le Souverain Pontife ou son délégué peut légitimer de manière exceptionnelle les effets survenus lors de cette vie en concubinage illégitime.
Article 14 : Le Sacré Collège des Cardinaux, au nom du Souverain Pontif, a seul, autorité quant à l’annulation du sacrement du mariage.

Article 15 : Toute demande d'annulation de mariage est déposée devant l'Officialité Episcopale locale et transmise au Consistoire Pontifical compétent qui juge de sa pertinence. Il la transmet ensuite au Sacré Collège des Cardinaux.

Article 16 : Il revient au Consistoire Pontificale de statuer et de publier un avis sur recevabilité de ladite demande. Cet avis sera ensuite déposé auprès du Sacré Collège des Cardinaux qui statuera.

Article 17 : Les causes d’une annulation de mariage sont définies par la recevabilité de la supplique et se cantonnent presque exclusivement au vice de procédure grave dans l’octroi du sacrement du mariage, à l’abus de confiance ou la tromperie de la part d’un des conjoint lors du mariage.


Texte canonique sur les sacrements de l’Eglise Aristotélicienne et Romaine.
Donné à Rome sous le pontificat du Très Saint Père Eugène V, le vingt-huitième jour du mois de mars de l'an de grâce MCDLV.

Dernière entérinement par le Sacré Collège des Cardinaux le XII du mois de septembre de l'an de grâce MCDLVII, le samedi.
Publié par feu Son Eminence Jeandalf le vingt-huitième du mois de mars de l'an MCDLV ; amendé, revu et corrigé, et publié à nouveau par Son Eminence Aaron de Nagan, Cardinal, Doyen du Sacré Collège, le XIII du mois de septembre, le dimanche, jour de la Saint Ripolin, de l’an de grâce MCDLVII de Notre Seigneur.

Code:
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[size=18][color=orange][i][b]Ad mundi salutem per sanctificationem[/b][/i]

[i]Bulle pontificale « Vers le Salut du monde par la Sanctification ».[/i][/color][/size]


[color=black][b]Partie II : Le sacrement du mariage.[/b][/color] [color=black]

[u][b]Section A : du sacrement[/b][/u]

[b]Article 1 :[/b] Le quadriptyque causal :

La cause matérielle = Un homme et une femme fidèles de l’Eglise Aristotélicienne.
La cause efficiente = Tout clerc habilité par sa charge.
La cause formelle = L’office, l’échange des vœux et des alliances.
La cause finale = Une union devant le Très-Haut et les hommes dans le but de fonder une famille et de trouver l’amitié aristotélicienne.

[b]Article 2 :[/b] Les préceptes de l’Eglise en matière matrimoniale et la nature même du mariage sont reprises dans le livre 4 sur les doctrines et sacrements de l’Eglise.

[b]Article 3 :[/b] Le mariage est la consécration de l'accord profond entre deux personnes, créant une communauté de vie, réputée indissoluble et symbolisant l'Amitié Aristotélicienne dans l'une de ses formes les plus étroite.

[b]Article 4 :[/b] Sont seuls habilités à célébrer un mariage, les prêtres ayant une charge cléricale, ainsi que les clercs habilités à donner ce sacrement.

[b]Article 5 :[/b] Tout mariage ne peut se faire qu’avec l’autorisation du responsable de la paroisse de chacun des deux futurs époux.
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[list][color=black][b]- Article 5 [i]bis[/i][/b] : En cas d’absence de responsable, c’est à l’autorité religieuse locale directement supérieure d’accorder cette autorisation.
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[b]- Article 6 [i]ter[/i][/b] : Tout mariage dans un autre lieu doit se faire avec l'accord préalable de l'évêque en charge du diocèse de résidence des fiancés ou à défaut de la fiancée, ainsi que celui du prélat responsable du lieu souhaité.

[b]- Article 6 [i]quater[/i][/b] : Les mariages célébrés en les basilique et églises romaines doivent faire l’objet de l’accord préalable d’un cardinal. Les mariages célébrés en les cathédrales royales ou impériales sont soumis à l’acceptation du consistoire national compétent ou d'un cardinal, du primat concerné, ou de tout autre autorité jugée ou reconnue  compétente.[/color]
[/list][color=black][b]Article 7 :[/b] La présence d’au moins deux témoins, choisis parmi les fidèles, est exigée. L’un représentant le marié, l’autre la mariée. Ils seront les garants devant les hommes de l’acte du mariage.

[b]Article 8 :[/b] Le couple doit être formé de deux fidèles non soumis à interdiction.

[b]Article 9 :[/b] Les fiancés ne peuvent avoir de lien de consanguinité au quatrième degré ou moins.

[b]Article 10 :[/b] Les fiançailles sont officialisées par la publication des bans au minimum quinze jours avant la date du mariage.
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[list][color=black][b]- Article 10 [i]bis[/i][/b] : Les bans doivent être publiés par les deux parties, dans l’église [b]R[/b]es [b]P[/b]arendo de la paroisse de résidence [b]I[/b]n [b]G[/b]ratebus des fiancés , ou de chacune d’elles si ils n’ont pas le même domicile.

[b]- Article 10 [i]ter[/i][/b] : Les publications des bans énoncent les noms et prénoms, le domicile des futurs conjoints, le lieu où se déroulera le mariage et le noms des témoins.

[b]- Article 10 [i]quater[/i][/b] : Si pour une raison quelconque, le couple devait réduire la période de fiançailles, une demande expresse et motivée sera introduite auprès du siège métropolitain compétent par le couple et le clerc officiant. Ce dernier en informera également sa hiérarchie.[/color]
[/list][color=black][b]Article 11 :[/b] Les époux scellent leur union par l’échange des vœux, symbolisé par l’échange des anneaux, devant Dieu et les hommes.

[b]Article 12 :[/b] En cas de remariage, le clerc officiant devra constater la validité de l’annulation ou de la dissolution de la précédente union.

[b]Article 13 :[/b] Le clerc officiant enregistre l’acte de mariage dans les registres appropriés.

[b]Article 14 :[/b] Des cas particuliers et des coutumes locales :

Le droit canon encadre le mariage dans l’optique d’une certaine uniformité dûe à l’unicité de l’Eglise. Toutefois, pour des raisons culturelles ou coutumières, les diocèses ou les provinces sont en droit d’imposer des restrictions supplémentaires à la célébration du mariage, en accord avec le Consistoire Pontifical compétent et après consultation de la Congrégation du Saint office et de la Diffusion de la Foi.


[u][b]Section B : de l'annulation du sacrement[/b][/u]

[b]Article 1 :[/b] Toute demande d'extinction, de dissolution ou d'annulation du sacrement du mariage doit passer en première instance devant l'Officialité Épiscopale locale ou compétente.

[u]Extinction du sacrement du mariage. [/u]

[b]Article 2 :[/b] L’extinction du sacrement du mariage est une procédure automatique ne nécessitant qu’une constatation de l’officialité diocésaine.

[b]Article 3 :[/b] L’extinction du sacrement du mariage n’est applicable que dans deux seuls cas :
[/color]
[list][color=black][i][b]- Article 3.1 [/b]:[/i] Le décès d’un des deux conjoints.

[i][b]- Article 3.2[/b] :[/i] L’entrée dans les ordres d’un des deux conjoints.

[i][b]- Article 3.3 [/b]:[/i]Lorsque que l’entrée dans les ordres est le motif invoqué, l’extinction du sacrement du mariage implique une suspension définitive des devoirs conjugaux.

[i][b]- Article 3.4[/b] :[/i] Lorsque que l’entrée dans les ordres est le motif invoqué et qu’il y a eut procréation, l’extinction du sacrement du mariage n’implique pas une suspension des devoirs parentaux.[/color]
[/list][color=black][b]Article 4 :[/b] Lors d’une extinction du sacrement du mariage, le mariage est reconnu valide et légitime, mais ne produit plus d’effets dans le futur. Les effets survenus dans le passé son légitimes et gardent leur pleine légitimité à perpétuité.


[u]Dissolution du sacrement du mariage. [/u]

[b]Article 5 :[/b] La dissolution du sacrement du mariage est une extinction de ce dernier suite à la décision des époux de se séparer et de mettre fin à leur vie de couple.

[b]Article 6 :[/b] Les motifs invoqués pour une dissolution du sacrement du mariage sont :
[/color]
[list][color=black][i][b]- Article 6.1[/b] :[/i]La disparition des sentiments amoureux entre les époux,

[i][b]- Article 6.2[/b] :[/i] L’adultère commis par l’un des deux époux ; le conjoint fautif étant frappé d’interdiction de remariage.

[i][b]- Article 6.3[/b] :[/i] L’abandon du domicile conjugal par l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois. Le conjoint reconnu coupable de négligence conjugale est passible de l’impossibilité de remariage.

[i][b]- Article 6.4 [/b]:[/i] La disparition de l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois.[/color]
[/list][color=black][b]Article 7 :[/b] La dissolution du sacrement du mariage implique la levée des obligations matrimoniales entre les époux.

[b]Article 8 :[/b] En cas de dissolution, et lorsqu’il y a eu descendance, les obligations parentales demeures.

[b]Article 9 :[/b] Lors d’une dissolution du sacrement du mariage, le mariage est reconnu valide et légitime, mais ne produit plus d’effets dans le futur. Les effets survenus dans le passé son légitimes et gardent leur pleine légitimité à perpétuité.

[b]Article 10 :[/b] Toute demande de dissolution de mariage est déposée devant l'Officialité Episcopale dont le ou les conjoints demandeurs dépendent avant d’être transmise devant le Consistoire Pontifical compétent.
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[list][color=black][b][i]- Article 10.1[/i] [/b]: Il revient à l'Officialité Episcopale de statuer et de publier un avis sur ladite demande, ainsi qu’une peine punitive et expiatoire. Cet avis sera ensuite déposé auprès du Consistoire Pontifical compétent afin d'être validé ou rejeté.
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[/list][color=black][b]Article 11 :[/b] Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, ont toute autorité quant à la dissolution du sacrement du mariage, à l’imposition d’une peine punitive ou expiatoire, à la révision de celle soumise par l’Officialité, aux interdictions frappant l’un ou les conjoints.
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[u]Annulation du sacrement du mariage.[/u]

[b]Article 12 :[/b] L’annulation du
mariage reconnaît de facto le mariage comme nul rétroactivement. Il n’a
de ce fait, aux yeux de l’Eglise, jamais existé.


[b]Article 13 :[/b] Lors d’une annulation du sacrement du mariage, le mariage est reconnu invalide et illégitime. Les effets survenus dans le passé sont illégitimes et reconnus comme tels de façon perpétuelle.
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[/list][color=black][b]Article 14 :[/b] Le Sacré Collège des Cardinaux, au nom du Souverain Pontif, a seul, autorité quant à l’annulation du sacrement du mariage.

[b]Article 15 :[/b] Toute demande d'annulation de mariage est déposée devant l'Officialité Episcopale locale et transmise au Consistoire Pontifical compétent qui juge de sa pertinence. Il la transmet ensuite au Sacré Collège des Cardinaux.

[b]Article 16 :[/b] Il revient au Consistoire Pontificale de statuer et de publier un avis sur recevabilité de ladite demande. Cet avis sera ensuite déposé auprès du Sacré Collège des Cardinaux qui statuera.

[b]Article 17 :[/b] Les causes d’une annulation de mariage sont définies par la recevabilité de la supplique et se cantonnent presque exclusivement au vice de procédure grave dans l’octroi du sacrement du mariage, à l’abus de confiance ou la tromperie de la part d’un des conjoint lors du mariage.


[/color][i][color=black]Texte canonique sur les sacrements de l’Eglise Aristotélicienne et Romaine.
Donné à Rome sous le pontificat du Très Saint Père Eugène V, le vingt-huitième jour du mois de mars de l'an de grâce MCDLV.

Dernière entérinement par le Sacré Collège des Cardinaux le XII du mois de septembre de l'an de grâce MCDLVII, le samedi.
Publié par feu Son Eminence Jeandalf le vingt-huitième du mois de mars de l'an MCDLV ; amendé, revu et corrigé, et publié à nouveau par Son Eminence Aaron de Nagan, Cardinal,  Doyen du Sacré Collège, le XIII du mois de septembre, le dimanche, jour de la Saint Ripolin, de l’an de grâce MCDLVII de Notre Seigneur.[/color][/i][/quote]
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Feuille de personnage
Nom et prénom: Ludovi de Sabran
Paroisse: Brignoles

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MessageSujet: Re: I Le Mariage   I Le Mariage EmptyJeu 14 Avr 2011 - 20:33

Citation :
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Le droit Canon I - Le Mariage - Complément Dogmatique

I) Aspect dogmatique

Chapitre premier: L'amitié incarnée.

Le dogme de l'amitié aristotélicienne précise :

Citation :
"L'Amitié Aristotélicienne" au sens large, qui est une communauté de vie: Par le Baptême chaque baptisé serait introduit dans une union spirituelle en puissance qui serait donc un contact spirituel avec tous les autres baptisés. ce point rejoint la notion traditionelle du Baptême qui introduit dans la communion des Saints.

Cette union spirituelle avec tous les baptisés s'exprime plus particulièrement entre l'époux et l'épouse dans le cadre du mariage. Les époux, par un amour pur et désinteréssé, sont appellés à former cette amitié parfaite qui est le gage de la sainteté aristotélicienne. A travers cette union si belle des époux c'est Dieu lui-même, source de tout amour, qui est glorifié.
Ainsi l'amitié aristotélicienne s'incarne particulièrement dans le mariage et y trouve une authentique réalisation.
Le mariage est indispensable à l'amour incarné, car il fonde une communauté de vie qui débouchera sur la mise au monde d'enfants et la fondation d'une famille, afin de rendre présente la fécondité de l'amour. C'est un engagement ferme et fort, dans lequel les époux se promettent de lutter ensemble contre les germes de haine et de désordre, par delà les difficultés de la vie quotidienne.

Chapitre deuxième: la sexualité.

Cette dimension du mariage comme union spirituelle ne doit pas faire oublier que l'union des corps est aussi primordiale, en vertu de l'amour qu'elle exprime. La sexualité est le moyen choisi par Dieu pour rendre présente sur terre la fécondité de l'amour, pour assurer la fondation d'une famille unie et pour souder par les gestes intimes l'affection des époux.
Cette sexualité ordonnée ne doit pas aboutir à des dérèglements ou la satisfaction bestiale des sens prendrait le pas sur la volonté d'exprimer l'amour commun et de le transmettre à une possible descendance. Le premier but du mariage reste donc de participer à la création divine par la mise au monde d'enfants. Contrevenir à cela serait saper les fondements mêmes de l'amitié aristotélicienne dans le mariage.

Chapitre troisième: le mariage est-il indissoluble ?

Etant donné que le mariage est fondé sur la création d'une communauté de vie et d'une union profonde des époux, il ne peut être considéré comme une simple formalité qui serait révocable à souhait. L'union spirituelle des époux n'est jamais une chose acquise et définitive, il convient de lutter pour la construire et la maintenir. Ainsi un simple désaccord des époux ne saurait en aucun cas justifier une séparation. La voie qui mène au paradis est étroite, et demande bien des sacrifices.
Toutefois un mariage peut-être annulé dans certaines circonstances, quand l'amitié des époux est rendue impossible par des actes graves et définitifs. L'annulation de ce mariage ne donne toutefois pas licence de se remarier, sauf jugement contraire pour raison exceptionnelles.

Pour la réglementation complète voir le droit canon.


II) La cérémonie liturgique.

Il n'existe pas encore de cérémonie type imposée partout, et la question se pose de sa nécessité. Néanmoins certains points doivent impérativement se trouver présents dans cette cérémonie :

- La cérémonie est présidée par un prêtre, de préférence le curé de la paroisse de l'épouse. En cas d'impossibilité, le curé de la paroisse de l'époux peut aussi officier bien sur.
- Les époux doivent être tous les deux présents. Le mariage par procuration peut-être célébré dans des circonstances exceptionnelles avec la permission de l'évêque du lieu.
- Les deux témoins doivent être présents. Un pour le mari, un pour l'épouse.
- Il doit y avoir un échange des consentements de l'époux et de l'épouse, ainsi qu'un échange d'alliance, symbole de la fidélité et de l'unité du mariage.

Ces points sont les seuls points indispensables. Voici en complément un exemple de cérémonie utilisable. Ce n'est bien sur qu'un exemple, et pas le moins du monde une norme obligatoire.

Citation :
Mariage de Y et de X en l'église de Choupinette les bains :

Il y a foule en ce froid matin d'hiver sur le parvis de la vieille église paroissiale de Choupinette les bains. Aujourd'hui Y et X, après un long temps de fiançailles, vont unir leurs destinées, et se donner l'un à l'autre avec la bénédiction divine. Le curé de la paroisse est à la sacristie, faisant avec soin les derniers préparatifs de la cérémonie. Entre alors en courant un enfant de choeur:

"Mon père, mon père! Les voilà!" dit-il en hate, tout essouflé. "Calme toi mon enfant, calme toi. j'y vais tout de suite.

Le curé termine tranquillement de revêtir les ornements liturgiques, puis sort au devant des fidèles, le regard rayonnant de joie. Il monte à l'autel accompagné des enfants de choeur, et s'incline devant la croix du Christ. Se retournant il descend quelques marches et va saluer la statue d'Aristote. Enfin il adresse la parole aux époux.

Bien chers Y et X! C'est pour moi une joie immense de vous recevoir ici, afin que vous receviez des mains de l'Eglise le sacrement qui va faire votre bonheur. Ne prenez pas à la légère l'engagement que vous allez déclarer maintenant devant tous. Vous allez vous unir pour le meilleur et pour le pire, vous allez affronter des difficultés, des disputes et des tristesses. Mais avec l'aide de Dieu et l'enseignement d'Aristote, vous allez surmonter tout cela chaque jour, et donner à tous un exemple d'Amitié et de courage. Que Dieu vous bénisse !

Puis le diacre s'avance et lit un passage de la vie d'Aristote :

Citation :
En ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.

Le curé repris la parole :

Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.

Le moment solennel était arrivé. Les époux se levèrent, le curé s'avança vers eux:

" Y veux-tu prendre X pour épouse, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?". " Oui, je le veux.

" X veux-tu prendre Y pour époux, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?". Oui, je le veux.

Le curé reprend:

"Je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage. Ce que Dieu a uni, nul ne pourras le désunir."

La cérémonie se termine alors dans la joie la plus profonde

Code:
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[color=black][b]I) Aspect dogmatique[/b]

[u]Chapitre premier: L'amitié incarnée.[/u]

Le dogme de l'amitié aristotélicienne précise :

[quote][color=black]"L'Amitié Aristotélicienne" au sens large, qui est une communauté de vie: Par le Baptême chaque baptisé serait introduit dans une union spirituelle en puissance qui serait donc un contact spirituel avec tous les autres baptisés. ce point rejoint la notion traditionelle du Baptême qui introduit dans la communion des Saints.[/color][/quote]

Cette union spirituelle avec tous les baptisés s'exprime plus particulièrement entre l'époux et l'épouse dans le cadre du mariage. Les époux, par un amour pur et désinteréssé, sont appellés à former cette amitié parfaite qui est le gage de la sainteté aristotélicienne. A travers cette union si belle des époux c'est Dieu lui-même, source de tout amour, qui est glorifié.
Ainsi l'amitié aristotélicienne s'incarne particulièrement dans le mariage et y trouve une authentique réalisation.
Le mariage est indispensable à l'amour incarné, car il fonde une communauté de vie qui débouchera sur la mise au monde d'enfants et la fondation d'une famille, afin de rendre présente la fécondité de l'amour. C'est un engagement ferme et fort, dans lequel les époux se promettent de lutter ensemble contre les germes de haine et de désordre, par delà les difficultés de la vie quotidienne.

[u]Chapitre deuxième: la sexualité.[/u]

Cette dimension du mariage comme union spirituelle ne doit pas faire oublier que l'union des corps est aussi primordiale, en vertu de l'amour qu'elle exprime. La sexualité est le moyen choisi par Dieu pour rendre présente sur terre la fécondité de l'amour, pour assurer la fondation d'une famille unie et pour souder par les gestes intimes l'affection des époux.
Cette sexualité ordonnée ne doit pas aboutir à des dérèglements ou la satisfaction bestiale des sens prendrait le pas sur la volonté d'exprimer l'amour commun et de le transmettre à une possible descendance. Le premier but du mariage reste donc de participer à la création divine par la mise au monde d'enfants. Contrevenir à cela serait saper les fondements mêmes de l'amitié aristotélicienne dans le mariage.

[u]Chapitre troisième: le mariage est-il indissoluble ?[/u]

Etant donné que le mariage est fondé sur la création d'une communauté de vie et d'une union profonde des époux, il ne peut être considéré comme une simple formalité qui serait révocable à souhait. L'union spirituelle des époux n'est jamais une chose acquise et définitive, il convient de lutter pour la construire et la maintenir. Ainsi un simple désaccord des époux ne saurait en aucun cas justifier une séparation. La voie qui mène au paradis est étroite, et demande bien des sacrifices.
Toutefois un mariage peut-être annulé dans certaines circonstances, quand l'amitié des époux est rendue impossible par des actes graves et définitifs. L'annulation de ce mariage ne donne toutefois pas licence de se remarier, sauf jugement contraire pour raison exceptionnelles.

[i]Pour la réglementation complète voir le droit canon.[/i]


[b]II) La cérémonie liturgique.[/b]

[/color][color=black]Il n'existe pas encore de cérémonie type imposée partout, et la question se pose de sa nécessité. Néanmoins certains points doivent impérativement se trouver présents dans cette cérémonie :

- La cérémonie est présidée par un prêtre, de préférence le curé de la paroisse de l'épouse. En cas d'impossibilité, le curé de la paroisse de l'époux peut aussi officier bien sur.
- Les époux doivent être tous les deux présents. Le mariage par procuration peut-être célébré dans des circonstances exceptionnelles avec la permission de l'évêque du lieu.
- Les deux témoins doivent être présents. Un pour le mari, un pour l'épouse.
- Il doit y avoir un échange des consentements de l'époux et de l'épouse, ainsi qu'un échange d'alliance, symbole de la fidélité et de l'unité du mariage.

Ces points sont les seuls points indispensables. Voici en complément un exemple de cérémonie utilisable. Ce n'est bien sur qu'un exemple, et pas le moins du monde une norme obligatoire.

[/color][quote][color=black][b]Mariage de Y et de X en l'église de Choupinette les bains :[/b]

Il y a foule en ce froid matin d'hiver sur le parvis de la vieille église paroissiale de Choupinette les bains. Aujourd'hui Y et X, après un long temps de fiançailles, vont unir leurs destinées, et se donner l'un à l'autre avec la bénédiction divine. Le curé de la paroisse est à la sacristie, faisant avec soin les derniers préparatifs de la cérémonie. Entre alors en courant un enfant de choeur:

"Mon père, mon père! Les voilà!" dit-il en hate, tout essouflé. "Calme toi mon enfant, calme toi. j'y vais tout de suite.

Le curé termine tranquillement de revêtir les ornements liturgiques, puis sort au devant des fidèles, le regard rayonnant de joie. Il monte à l'autel accompagné des enfants de choeur, et s'incline devant la croix du Christ. Se retournant il descend quelques marches et va saluer la statue d'Aristote. Enfin il adresse la parole aux époux.

Bien chers Y et X! C'est pour moi une joie immense de vous recevoir ici, afin que vous receviez des mains de l'Eglise le sacrement qui va faire votre bonheur. Ne prenez pas à la légère l'engagement que vous allez déclarer maintenant devant tous. Vous allez vous unir pour le meilleur et pour le pire, vous allez affronter des difficultés, des disputes et des tristesses. Mais avec l'aide de Dieu et l'enseignement d'Aristote, vous allez surmonter tout cela chaque jour, et donner à tous un exemple d'Amitié et de courage. Que Dieu vous bénisse !

Puis le diacre s'avance et lit un passage de la vie d'Aristote :

[quote][/color][color=black]En ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.[/quote]

Le curé repris la parole :

Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.

Le moment solennel était arrivé. Les époux se levèrent, le curé s'avança vers eux:

" Y veux-tu prendre X pour épouse, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?". " Oui, je le veux.

" X veux-tu prendre Y pour époux, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?". Oui, je le veux.

Le curé reprend:

"Je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage. Ce que Dieu a uni, nul ne pourras le désunir."

La cérémonie se termine alors dans la joie la plus profonde[/color][/quote][/quote]
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Richelieu1
Cardinal Archevêque d'Aix-en-Provence
Richelieu1


Lieu RP : Brignoles

Feuille de personnage
Nom et prénom: Ludovi de Sabran
Paroisse: Brignoles

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MessageSujet: Re: I Le Mariage   I Le Mariage EmptyJeu 14 Avr 2011 - 20:38

Citation :
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Le droit Canon I - Le Mariage - Matrimonium Prohibitem


Nous, cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne réunis en sacré collège par la grâce de Dieu, et nous, théologues de la congrégation du Saint Office, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, au nom du Souverain Pontife de Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine,

Rendons officiel notre décision quant à la nature de ce que certains nomment déjà « mariage laïc ». L’union sacrée de l’homme et de la femme est exclusivement dévolue à la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine. Procéder à une union de ce genre – ou d’un autre ayant vocation à lier l’homme à la femme et la femme à l’homme – alors que l’on est fidèle de Notre Sainte Mère l’Eglise est strictement interdit. De même, les fidèles de la Sainte Eglise ne peuvent demander cette bénédiction, fut-elle non sacrée.

Tout qui contreviendrait à cette règle se mettrait en porte à faux avec notre dogme, son action serait alors considérée comme blasphème. Dès lors, le fidèle contrevenant s’exposerait à la justice d’Eglise et aux punitions qui suivraient son jugement, définies dans notre Droit Canon.

D’aucun ignorait le caractère blasphématoire de cette pratique. Aussi, cette règle n’a pas de valeur rétroactive. Il est cependant conseillé aux fidèles concernés de faire acte de contrition auprès des autorités ecclésiastiques de leur province ou diocèse.


Ad Majorem Dei Gloriam

Fait à Rome le XXV novembre de l’an de grâce MCDLV de Notre Seigneur

Droit Canon : Livre I, section 1.3, appendice 1

Code:
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[/color][size=18][color=orange][i][b]Le droit Canon I - Le Mariage - Matrimonium Prohibitem[/b][/i][/color][/size]


[color=black][b]Nous, cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne réunis en sacré collège par la grâce de Dieu, et nous, théologues de la congrégation du Saint Office, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, au nom du Souverain Pontife de Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, [/b]

Rendons officiel notre décision quant à la nature de ce que certains nomment déjà [color=orange][b] « mariage laïc »[/b][/color]. L’union sacrée de l’homme et de la femme est exclusivement dévolue à la [color=orange][b]Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine[/b][/color]. Procéder à une union de ce genre – ou d’un autre ayant vocation à lier l’homme à la femme et la femme à l’homme – alors que l’on est [color=orange][b]fidèle[/b][/color] de Notre Sainte Mère l’Eglise est strictement interdit. De même, les fidèles de la Sainte Eglise ne peuvent demander cette bénédiction, fut-elle non sacrée.

Tout qui contreviendrait à cette règle se mettrait en porte à faux avec notre dogme, son action serait alors considérée comme [color=orange][b]blasphème[/b][/color]. Dès lors, le fidèle contrevenant s’exposerait à la [color=orange][b]justice d’Eglise[/b][/color]  et aux punitions qui suivraient son jugement, définies dans notre Droit Canon.

D’aucun ignorait le caractère blasphématoire de cette pratique. Aussi, cette règle n’a pas de [color=orange][b]valeur rétroactive[/b][/color]. Il est cependant conseillé aux fidèles concernés de faire [color=orange][b]acte de contrition[/b][/color]  auprès des autorités ecclésiastiques de leur province ou diocèse.


[i][b]Ad Majorem Dei Gloriam [/b][/i]

[b]Fait à Rome le XXV novembre de l’an de grâce MCDLV de Notre Seigneur[/b]

[i]Droit Canon : Livre I, section 1.3, appendice 1[/i][/color][/quote]
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