Richelieu1 Cardinal Archevêque d'Aix-en-Provence
Lieu RP : Brignoles
Feuille de personnage Nom et prénom: Ludovi de Sabran Paroisse: Brignoles
| Sujet: Acherpée, un des visages de la créature sans nom ? Mer 6 Avr 2011 - 22:43 | |
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Textes de références - Acherpée, un des visages de la créature sans nom ?
Acherpée, un des visages de la créature sans nom ?
A) Témoignage retrouvé par Mgr. Gabriel de Culan dans la crypte de la cathédrale de Genève
Mon nom est Roland-Pierre, je suis, en ce jour du 24 septembre 1274, curé en la bonne paroisse (illisible)., près de Genève. Le témoignage que je souhaite ici livrer relate des faits réels vécus par moi-même au début de l’été de la présente année. J’en garde aujourd’hui encore les traces en mon âme. Tout me laisse croire que je ne les perdrai jamais.
Que Dieu te protège, lecteur de ce parchemin, car tu cours grand danger. J’ai été, moi aussi, insouciant comme tu l’es peut-être et grand peine m’en a coûté comme le récit qui suit te le fera comprendre.
Le mois de juin, cette année, fut plutôt doux, et tandis que la plupart des paroissiens travaillaient à la fenaison des champs, je préparais les messes chaque soir avec la belle humeur que le Seigneur m’accordait. Ce fut mardi soir que le démon Acherpée fit, pour la première fois, parler de lui dans le village. Une jeune et belle fidèle, Ophélia, à la fin de la messe, est venue me trouver. « -Je vais partir jusqu’à la fin d’août » me dit-elle. J’en étais surpris, car c’était la fille d’un cultivateur et que je savais qu’elle aurait fort à faire pour ses champs durant l’été. Mais elle m’expliqua que c’était « pour la raison d’Acherpée ». Cette fois, j’étais tout à fait intrigué. Je suis allé rencontrer mon évêque, qui n’en savait guère plus que moi sur ce que pouvait être « la raison d’Acherpée. Le lendemain, alors que je prêchais sur la place du marché, je vis une femme l’air affligé, et son mari qui ne paraissait pas l’apaiser. Quand je m’approchai pour connaître son mal, elle m’expliqua qu’il la laissait seule avec leurs enfants jusqu’au mois de septembre, toujours « pour la raison d’Acherpée ».
Cette fois, c’en était trop pour moi, et j’ai saisi par le bras l’époux défaillant. « -Qui est donc cette Acherpée pour la raison de laquelle tu pars ? - C’est une déesse plus puissante que tous les hommes de la terre. Elle explique l’inexplicable et permet bien souvent de progresser dans la vie. » me répondit-il.
C’est alors que je compris qu’un démon sévissait parmi mes paroissiens, et que dans leur innocence, ils le prenaient pour une déesse capable de tout. Pour protéger mon église et la foi de ses fidèles, je demandai au mari de me conduire à Acherpée. « Tu ne peux la voir, car elle se glisse dans la vie des uns et des autres, parfois en s’annonçant, parfois sans prévenir. Elle vit au milieu des mésanges et aime la compagnie des piliers de taverne. C’est ainsi, par exemple, que le petit Jean-Jean, qui n’a jamais travaillé, a pu devenir conseiller du maire, parce qu’il le connaissait par Acherpée. Si tu restes assez à observer les mésanges, tu la trouveras. » Voilà l’énigmatique discours qu’il me tint en guise de réponse.
Non sans crainte, pourtant, je le fis. Un grand arbre du jardin de l’église était connu pour abriter des mésanges. J’y allai et m’y postai sur une branche, prêt à tout voir, sans trop savoir à quoi m’attendre. Devant moi s’étendait le village et la beauté du Soleil qui l’éclairait.
Mais c’est le plus inattendu des spectacles qui me frappa au visage : l’un de mes paroissiens les plus dévoués, le dénommé Damien, était en train de blasphémer des plus odieuses façons, et ceci en riant, tandis que son épouse, effarée, cherchait à comprendre en lui demandant « C’est Acherpée ? Ce ne peut-être Damien qui dit ces choses ! » Et le brave Damien, les yeux rougis par le délire, lui répondait « Oui, c’est Acherpée, et Damien va bientôt mourir, de toute façon, puisque je n’aime pas ce village ! »
L’effroi me saisit alors, et je ne pus qu’intervenir. « Toi, démon Acherpée, laisse les paroissiens de ce village en paix ! Ils partent un à un pour te rejoindre, et je ne suis pas sûr d’en retrouver la moitié à leur retour en septembre. Tu sèmes la discorde en faisant rire les uns et pleurer les autres ! Tu tues des gens de qualité et porte au pouvoir des gens de faible mérite. Pars, démon visqueux, car le Très-Haut t’est supérieur en tout ! »
Et le pauvre Damien, possédé qu’il était par Acherpée, riait de plus belle en s’éloignant, sans même prendre la peine de me répondre. Je ne le revis plus pendant près d’un mois, et il revint, comme si de rien était, en s’excusant d’être ainsi parti, mais en jurant de ne plus laisser Acherpée le dominer.
Heureux de son sauvetage, je m’en allai voir Jean-Jean, qui était indûment devenu conseiller du maire. Bien décidé à attaquer le démon qui devait encore vivre en lui, j’entrai dans son bureau sans frapper à la porte. Je le vis alors en pleine dispute avec le maire. Il lui disait ainsi :
« Acherpée, tu m’as promis que je serais maire ! » Et le maire désemparé lui répétait sans cesse « Je ne suis pas Acherpée, je suis le maire de ce village, et je ne peux te laisser ma place ! »
Je compris que j’arrivais alors qu’Acherpée était déjà partie. Je parvins à raisonner Jean-Jean, qui était tout de même un brave garçon, et il jura de ne plus croire aucun mot qui viendrait d’Acherpée, et de surtout jamais en prononcer lui-même.
Le dimanche suivant, je profitai de la messe dominicale pour mettre en garde tous les fidèles. Certains avaient été épargnés et comprirent qu’il fallait toujours veiller à ce qu’Acherpée ne puisse passer leur porte. Les autres, ceux qui s’étaient laissés avoir, avaient honte, mais retinrent la leçon. Seule la jeune Ophélia ne reparut plus au village, et son père en était inconsolable.
Pourtant, pas plus tard qu’hier, j’ai reçu en songe des nouvelles de la belle Ophélia. Dans mon rêve, une mésange est venue me trouver, qui m’a dit ces mots, dont je me souviens en détail : « -Bonjour » me dit-elle d'abord, alors que je lui demandais « -Qui es-tu, qui parle à travers le bec d’une mésange ? » et l’oiseau de me répondre « -Acherpée, Ophélia est morte, mais sois sans crainte. Je ne voulais plus d’elle, je vais maintenant pouvoir aller dans d’autres villages et dans d’autres duchés. Adieu… » Comprends donc, mon pauvre ami lecteur, qu’à mon réveil j’aie voulu écrire ce présent témoignage pour te mettre en garde.
Que Dieu protège Ses enfants, et qu’ils Lui soient fidèles à jamais. Roland-Pierre.
B) Sermon de monseigneur Verty rapporté de mémoire par témoin
Mes sœurs, mes frères, Le danger est grand, plus grand que l’on ne saurait l’imaginer, non pas guerriers de tous poils qui n’ayant rien compris à la vie sèment la mort, non pas les dirigeants de ce monde qui font la guerre par incapacité de faire la Paix, non pas l’orgueil démesuré de ces outres vides qui cherchent gloire dans les combats…Non ! Chers tous, un danger plus grave encore !
En taverne, sous les halles et nos gargotes, dans nos courriers, accroché aux pattes de nos pigeons et de nos mésange c’est glissée la bête, hideuse, dangereuse qui nous amène à l’acédie et à l’hérésie….Elle est là ! Je n’ai, tout d’abord pas saisi de qui l’on parlait, quand j’entendais prononcer son nom, Acherpée…Puis l’entendant de plus en plus j’ai compris à quel point certains idolâtrent cette Acherpée. Oui vous tous qui êtes là Acherpée vous gangrène, vous fait perdre l’esprit, vous coupe de vos amis…
Tel qui hier était votre ami, votre aimé ou votre frère d’arme, devient votre ennemi car Acherpée à fait naître un problème entre vous ! Telle qui hier vous appréciait devient votre ennemie car, « par Acherpée » vous aurez été salis… Sommes-nous bien conscient de la raison pour laquelle nous sommes tous là ? Vous tous ! Êtes-vous nés pour entendre des jérémiades Acherpée, pour entendre ou dire, des insultes, des ragots, des fantaisies, des plaintes, des sottises, des billevesées colportés par cette idole malfaisante et malodorante qui menace nos Royaumes ?
Nous sommes tous, ici, en ce mois de mai 1457 pour être heureux dans l’Amitié Aristotélicienne. Alors mes chers sœurs et frères si vous n’êtes pas capables de résister à cette gangrène, éloignez vous des mésanges… et rapprochez vous de nouveau de la vérité. La vérité est la question que vous devez vous poser à chaque entrée en taverne, à chaque fois que vous ouvrez les yeux sur le monde. Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi mon prochain s’y trouve aussi ? Certainement pas pour parler d’Acherpée.
Je vous en conjure, cette soit disant déesse, aussi fourbe que mortelle, n’est que mensonges, les gens qui s’adonnent à elle sont des malades de la tête qui finissent par ne plus savoir faire autres chose que se plaindre et déverser sur les autres leur fiel et leur mal-vivre, fuyez là … Et si certains ne peuvent s’en départir, fuyez les… Pis que la peste noire. - Code:
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[color=black]Acherpée, un des visages de la créature sans nom ?
[b]A) Témoignage retrouvé par Mgr. Gabriel de Culan dans la crypte de la cathédrale de Genève[/b]
Mon nom est Roland-Pierre, je suis, en ce jour du 24 septembre 1274, curé en la bonne paroisse (illisible)., près de Genève. Le témoignage que je souhaite ici livrer relate des faits réels vécus par moi-même au début de l’été de la présente année. J’en garde aujourd’hui encore les traces en mon âme. Tout me laisse croire que je ne les perdrai jamais.
Que Dieu te protège, lecteur de ce parchemin, car tu cours grand danger. J’ai été, moi aussi, insouciant comme tu l’es peut-être et grand peine m’en a coûté comme le récit qui suit te le fera comprendre.
Le mois de juin, cette année, fut plutôt doux, et tandis que la plupart des paroissiens travaillaient à la fenaison des champs, je préparais les messes chaque soir avec la belle humeur que le Seigneur m’accordait. Ce fut mardi soir que le démon Acherpée fit, pour la première fois, parler de lui dans le village. Une jeune et belle fidèle, Ophélia, à la fin de la messe, est venue me trouver. [b]« -Je vais partir jusqu’à la fin d’août »[/b] me dit-elle. J’en étais surpris, car c’était la fille d’un cultivateur et que je savais qu’elle aurait fort à faire pour ses champs durant l’été. Mais elle m’expliqua que c’était [b]« pour la raison d’Acherpée »[/b]. Cette fois, j’étais tout à fait intrigué. Je suis allé rencontrer mon évêque, qui n’en savait guère plus que moi sur ce que pouvait être [b]« la raison d’Acherpée. Le lendemain, alors que je prêchais sur la place du marché, je vis une femme l’air affligé, et son mari qui ne paraissait pas l’apaiser. Quand je m’approchai pour connaître son mal, elle m’expliqua qu’il la laissait seule avec leurs enfants jusqu’au mois de septembre, toujours « pour la raison d’Acherpée »[/b].
Cette fois, c’en était trop pour moi, et j’ai saisi par le bras l’époux défaillant. [b]« -Qui est donc cette Acherpée pour la raison de laquelle tu pars ? - C’est une déesse plus puissante que tous les hommes de la terre. Elle explique l’inexplicable et permet bien souvent de progresser dans la vie. »[/b] me répondit-il.
C’est alors que je compris qu’un démon sévissait parmi mes paroissiens, et que dans leur innocence, ils le prenaient pour une déesse capable de tout. Pour protéger mon église et la foi de ses fidèles, je demandai au mari de me conduire à Acherpée. [b]« Tu ne peux la voir, car elle se glisse dans la vie des uns et des autres, parfois en s’annonçant, parfois sans prévenir. Elle vit au milieu des mésanges et aime la compagnie des piliers de taverne. C’est ainsi, par exemple, que le petit Jean-Jean, qui n’a jamais travaillé, a pu devenir conseiller du maire, parce qu’il le connaissait par Acherpée. Si tu restes assez à observer les mésanges, tu la trouveras. »[/b] Voilà l’énigmatique discours qu’il me tint en guise de réponse.
Non sans crainte, pourtant, je le fis. Un grand arbre du jardin de l’église était connu pour abriter des mésanges. J’y allai et m’y postai sur une branche, prêt à tout voir, sans trop savoir à quoi m’attendre. Devant moi s’étendait le village et la beauté du Soleil qui l’éclairait.
Mais c’est le plus inattendu des spectacles qui me frappa au visage : l’un de mes paroissiens les plus dévoués, le dénommé Damien, était en train de blasphémer des plus odieuses façons, et ceci en riant, tandis que son épouse, effarée, cherchait à comprendre en lui demandant [b]« C’est Acherpée ? Ce ne peut-être Damien qui dit ces choses ! »[/b] Et le brave Damien, les yeux rougis par le délire, lui répondait [b]« Oui, c’est Acherpée, et Damien va bientôt mourir, de toute façon, puisque je n’aime pas ce village ! »[/b]
L’effroi me saisit alors, et je ne pus qu’intervenir. [b]« Toi, démon Acherpée, laisse les paroissiens de ce village en paix ! Ils partent un à un pour te rejoindre, et je ne suis pas sûr d’en retrouver la moitié à leur retour en septembre. Tu sèmes la discorde en faisant rire les uns et pleurer les autres ! Tu tues des gens de qualité et porte au pouvoir des gens de faible mérite. Pars, démon visqueux, car le Très-Haut t’est supérieur en tout ! »[/b]
Et le pauvre Damien, possédé qu’il était par Acherpée, riait de plus belle en s’éloignant, sans même prendre la peine de me répondre. Je ne le revis plus pendant près d’un mois, et il revint, comme si de rien était, en s’excusant d’être ainsi parti, mais en jurant de ne plus laisser Acherpée le dominer.
Heureux de son sauvetage, je m’en allai voir Jean-Jean, qui était indûment devenu conseiller du maire. Bien décidé à attaquer le démon qui devait encore vivre en lui, j’entrai dans son bureau sans frapper à la porte. Je le vis alors en pleine dispute avec le maire. Il lui disait ainsi :
[b]« Acherpée, tu m’as promis que je serais maire ! »[/b] Et le maire désemparé lui répétait sans cesse [b]« Je ne suis pas Acherpée, je suis le maire de ce village, et je ne peux te laisser ma place ! »[/b]
Je compris que j’arrivais alors qu’Acherpée était déjà partie. Je parvins à raisonner Jean-Jean, qui était tout de même un brave garçon, et il jura de ne plus croire aucun mot qui viendrait d’Acherpée, et de surtout jamais en prononcer lui-même.
Le dimanche suivant, je profitai de la messe dominicale pour mettre en garde tous les fidèles. Certains avaient été épargnés et comprirent qu’il fallait toujours veiller à ce qu’Acherpée ne puisse passer leur porte. Les autres, ceux qui s’étaient laissés avoir, avaient honte, mais retinrent la leçon. Seule la jeune Ophélia ne reparut plus au village, et son père en était inconsolable.
Pourtant, pas plus tard qu’hier, j’ai reçu en songe des nouvelles de la belle Ophélia. Dans mon rêve, une mésange est venue me trouver, qui m’a dit ces mots, dont je me souviens en détail : [b]« -Bonjour » me dit-elle d'abord, alors que je lui demandais « -Qui es-tu, qui parle à travers le bec d’une mésange ? »[/b] et l’oiseau de me répondre [b]« -Acherpée, Ophélia est morte, mais sois sans crainte. Je ne voulais plus d’elle, je vais maintenant pouvoir aller dans d’autres villages et dans d’autres duchés. Adieu… »[/b] Comprends donc, mon pauvre ami lecteur, qu’à mon réveil j’aie voulu écrire ce présent témoignage pour te mettre en garde.
Que Dieu protège Ses enfants, et qu’ils Lui soient fidèles à jamais. Roland-Pierre.
[b]B) Sermon de monseigneur Verty rapporté de mémoire par témoin[/b]
Mes sœurs, mes frères, Le danger est grand, plus grand que l’on ne saurait l’imaginer, non pas guerriers de tous poils qui n’ayant rien compris à la vie sèment la mort, non pas les dirigeants de ce monde qui font la guerre par incapacité de faire la Paix, non pas l’orgueil démesuré de ces outres vides qui cherchent gloire dans les combats…Non ! Chers tous, un danger plus grave encore !
En taverne, sous les halles et nos gargotes, dans nos courriers, accroché aux pattes de nos pigeons et de nos mésange c’est glissée la bête, hideuse, dangereuse qui nous amène à l’acédie et à l’hérésie….Elle est là ! Je n’ai, tout d’abord pas saisi de qui l’on parlait, quand j’entendais prononcer son nom, Acherpée…Puis l’entendant de plus en plus j’ai compris à quel point certains idolâtrent cette Acherpée. Oui vous tous qui êtes là Acherpée vous gangrène, vous fait perdre l’esprit, vous coupe de vos amis…
Tel qui hier était votre ami, votre aimé ou votre frère d’arme, devient votre ennemi car Acherpée à fait naître un problème entre vous ! Telle qui hier vous appréciait devient votre ennemie car, « par Acherpée » vous aurez été salis… Sommes-nous bien conscient de la raison pour laquelle nous sommes tous là ? Vous tous ! Êtes-vous nés pour entendre des jérémiades Acherpée, pour entendre ou dire, des insultes, des ragots, des fantaisies, des plaintes, des sottises, des billevesées colportés par cette idole malfaisante et malodorante qui menace nos Royaumes ?
Nous sommes tous, ici, en ce mois de mai 1457 pour être heureux dans l’Amitié Aristotélicienne. Alors mes chers sœurs et frères si vous n’êtes pas capables de résister à cette gangrène, éloignez vous des mésanges… et rapprochez vous de nouveau de la vérité. La vérité est la question que vous devez vous poser à chaque entrée en taverne, à chaque fois que vous ouvrez les yeux sur le monde. Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi mon prochain s’y trouve aussi ? Certainement pas pour parler d’Acherpée.
Je vous en conjure, cette soit disant déesse, aussi fourbe que mortelle, n’est que mensonges, les gens qui s’adonnent à elle sont des malades de la tête qui finissent par ne plus savoir faire autres chose que se plaindre et déverser sur les autres leur fiel et leur mal-vivre, fuyez là … Et si certains ne peuvent s’en départir, fuyez les… Pis que la peste noire.[/color][/quote] | |
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