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 Bienheureux Minus Mailhes : La conservation de Soi est une vertu

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AuteurMessage
Richelieu1
Cardinal Archevêque d'Aix-en-Provence
Richelieu1


Lieu RP : Brignoles

Feuille de personnage
Nom et prénom: Ludovi de Sabran
Paroisse: Brignoles

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MessageSujet: Bienheureux Minus Mailhes : La conservation de Soi est une vertu   Bienheureux Minus Mailhes : La conservation de Soi est une vertu EmptyMar 5 Avr 2011 - 23:26

Citation :
Bienheureux Minus Mailhes : La conservation de Soi est une vertu Badgesaintofficenc8
Les Ecrits des Saints et des Bienheureux - Bienheureux Minus Mailhes : La conservation de Soi est une vertu

La conservation de soi est une des sept vertus qui compose la vertu parfaite.

Le dogme la définit comme suit :

Citation :
La conservation est la faculté d'oeuvrer à sa propre survie. Elle est la conscience de ses besoins premiers en nourriture, en eau, en sommeil.

Or, à chaque vertu correspond un pêché. Le dogme définit le pêché opposé comme étant la gourmandise, "l'abus du plaisir des besoins premiers". Mais ce pêché est également considéré comme "le vice de ceux qui n'ont pas la mesure des nécessités de leur subsistance".

Or, cette mesure, si elle condamnable dans l'excès doit l'être également pour l'extrême privation. En effet, privé son corps des besoins nécessaires au maintien de la vie est contraire à la vertu de conservation de soi puisque le résultat en est la mort qui mène ensuite à l'éradication.

La mort volontairement donnée est donc un pêché. Par conséquent, l'absence de soins et plus largement, tout acte tendant à notre propre destruction sont des comportements qui doivent être réprouvés car ils ne correspondent pas à la recherche du Juste Milieu.


La Création Divine nous est certes soumise mais l'espèce humaine doit perdurer

L'humain est une créature issue de la création de Dieu. Par conséquent, en prenant soin de lui-même, l'humain prend soin de la création divine.

Certes, Dieu a soumis la Création à l'humain, mais il a également intimé à Oane d'assurer la survie du genre humain.

Citation :
Mais il faudra encore que, chaque jour, toi et les tiens fassiez perdurer votre espèce (...) J'ai fais de toutes les créatures vos soumises. Ainsi vous vous en nourrirez, sans qu'elles ne se nourrissent de vous".

De ces paroles divines, il ressort sans ambiguïté que l'un des buts de l'humanité est non seulement de perpétuer son espèce, mais aussi de veiller à l'intégrité de sa vie. Si la création est effectivement notre bien dont nous disposons librement, l'humain fait exception à cet usage. L'humain dispose de tout sauf de lui-même.

Citation :
N.B. : Par ailleurs, si l'humain doit assurer sa conservation, il doit également veiller à ce que d'autres éléments de la Création ne portent pas atteinte à sa vie. "Sans qu'elles se nourrissent de vous", indiquent clairement que l'homme doit tout mettre en oeuvre pour repousser le danger que représentent les créatures sauvages. Ne pas prendre les précautions nécessaires à sa propre défense (voyage en solitaire sans caractéristiques de force suffisantes) relève donc également de la non-conservation de Soi.

A noter que, certaines créatures humaines étant également incapables de comprendre l'Amour, oeuvrant au pêché à travers l'hétérodoxie ou l'hérésie, celles-ci doivent par conséquent être repoussées au loin voire éliminées. De même, certains rites païens qui osent placer la Création au même niveau que l'humain, doivent être éradiqués.

En plus d'être le contraire de la Vertu, toute atteinte volontaire, indirecte ou directe, à notre Vie est donc une atteinte aux enseignements divins retranscrits dans notre Livre des Vertus.

La non-conservation de soi, le suicide, relèvent donc d'une atteinte aux valeurs de l'aristotélisme et doivent faire l'objet d'une condamnation claire et ferme du droit canon.

Écrit par le bienheureux Minus Mailhes

Code:
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[color=black][b]La conservation de soi est une des sept vertus qui compose la vertu parfaite.[/b]

Le dogme la définit comme suit :

[quote][color=black]La conservation est la faculté d'oeuvrer à sa propre survie. Elle est la conscience de ses besoins premiers en nourriture, en eau, en sommeil.[/color][/quote]

Or, à chaque vertu correspond un pêché. Le dogme définit le pêché opposé comme étant la gourmandise, "l'abus du plaisir des besoins premiers". Mais ce pêché est également considéré comme "le vice de ceux qui n'ont pas la mesure des nécessités de leur subsistance".

Or, cette mesure, si elle condamnable dans l'excès doit l'être également pour l'extrême privation. En effet, privé son corps des besoins nécessaires au maintien de la vie est contraire à la vertu de conservation de soi puisque le résultat en est la mort qui mène ensuite à l'éradication.

La mort volontairement donnée est donc un pêché. Par conséquent, l'absence de soins et plus largement, tout acte tendant à notre propre destruction sont des comportements qui doivent être réprouvés car ils ne correspondent pas à la recherche du Juste Milieu.


[b]La Création Divine nous est certes soumise mais l'espèce humaine doit perdurer[/b]

L'humain est une créature issue de la création de Dieu. Par conséquent, en prenant soin de lui-même, l'humain prend soin de la création divine.

Certes, Dieu a soumis la Création à l'humain, mais il a également intimé à Oane d'assurer la survie du genre humain.

[quote][color=black]Mais il faudra encore que, chaque jour, toi et les tiens fassiez perdurer votre espèce (...) J'ai fais de toutes les créatures vos soumises. Ainsi vous vous en nourrirez, sans qu'elles ne se nourrissent de vous".[/color][/quote]

De ces paroles divines, il ressort sans ambiguïté que l'un des buts de l'humanité est non seulement de perpétuer son espèce, mais aussi de veiller à l'intégrité de sa vie. Si la création est effectivement notre bien dont nous disposons librement, l'humain fait exception à cet usage. L'humain dispose de tout sauf de lui-même.

[quote][color=black]N.B. : Par ailleurs, si l'humain doit assurer sa conservation, il doit également veiller à ce que d'autres éléments de la Création ne portent pas atteinte à sa vie. "Sans qu'elles se nourrissent de vous", indiquent clairement que l'homme doit tout mettre en oeuvre pour repousser le danger que représentent les créatures sauvages. Ne pas prendre les précautions nécessaires à sa propre défense (voyage en solitaire sans caractéristiques de force suffisantes) relève donc également de la non-conservation de Soi.

A noter que, certaines créatures humaines étant également incapables de comprendre l'Amour, oeuvrant au pêché à travers l'hétérodoxie ou l'hérésie, celles-ci doivent par conséquent être repoussées au loin voire éliminées. De même, certains rites païens qui osent placer la Création au même niveau que l'humain, doivent être éradiqués.[/color][/quote]

En plus d'être le contraire de la Vertu, toute atteinte volontaire, indirecte ou directe, à notre Vie est donc une atteinte aux enseignements divins retranscrits dans notre Livre des Vertus.

La non-conservation de soi, le suicide, relèvent donc d'une atteinte aux valeurs de l'aristotélisme et doivent faire l'objet d'une condamnation claire et ferme du droit canon.

[i]Écrit par le bienheureux Minus Mailhes[/i][/color][/quote]
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