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 Saint Nicolas, ami des enfants

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AuteurMessage
UterPendragon

UterPendragon


Lieu RP : Aix-La-Chapelle

Feuille de personnage
Nom et prénom: Aimé Von Frayner dict UterPendragon
Paroisse: Toulon pardi !

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MessageSujet: Saint Nicolas, ami des enfants   Saint Nicolas, ami des enfants EmptyDim 22 Fév 2009 - 13:09

Citation :
Saint Nicolas, ami des enfants Badgesaintofficenc8
Les Saints Anciens - Saint Nicolas


L'enfance et l'adolescence

Nicolas Dury-Damour est né en mars de l'année 955 à Achouffe, en Ardenne, diocèse de Liège.

Les Dury-Damour sont de petite noblesse non fieffée. Nicolas est élevé dans un bon milieu. Il apprend à lire et à écrire. Sa constitution fragile ne lui permet pas d'exceller dans les exercices de combat, mais il impressionne par sa maîtrise du grec et du latin. Le curé du village lui fait lire les textes sacrés. Le petit Nicolas est fasciné par Aristote et Christos, et il envisage de suivre la voie de l'Eglise. Il intègre donc le séminaire à Liège.

C'est dans cette ville qu'il fait la connaissance de Geneviève. Il en tombe fou amoureux et se retrouve face à un dilemme : sa foi ou son amour. Si la mystique aristotélicienne le fascine toujours autant, la rigidité de certains professeurs le font douter de la sainteté de ceux qui se disent ses maîtres. L'annonce de la mort de sa mère est pour lui un choc terrible. Aussi Nicolas quitte-t-il le séminaire avant de prononcer ses voeux pour vivre avec Geneviève. Il demeurent tous deux à Liège quelques mois, Nicolas travaille comme écrivain public grâce à l'instruction des moines. Mais il étouffe dans la grande ville, et les collines ardennaises lui manquent. Ils décident de rejoindre le père de Nicolas à Achouffe.


La souffrance

En chemin vers Achouffe avec sa jeune épouse, Nicolas apprend le décès de son père. Ce nouveau coup est rude, mais Nicolas s'en sort grâce à l'amour de Geneviève et surtout grâce à une foi solide. Il reprend les affaires de son père comprenant de nombreuses forêts, des chasses et une mine d'ardoise. La richesse est là, de même que le bonheur quand Geneviève lui donne deux bons enfants.

En septembre 987, Geneviève retourne à Liège pour voir sa famille. Retenu par ses affaires, Nicolas reste à Achouffe. Deux semaines plus tard, il apprend que sa femme et ses deux fils sont morts noyés dans la Meuse quand le bateau qui les faisait traverser a sombré. C'est le coup fatal. Nicolas manque perdre la raison, mais sa foi le sauve ! Il est convaincu que sa femme et ses enfants vont prendre place à la droite d'Aristote. Alors, libéré de toutes contingences terrestres, il laisse là ses affaires, sa richesse et part. A ce moment, on perd sa trace.


L'accident

La Légende de Saint-Nicolas, relatée par François de Villeret, nous apprend qu'au début du XIe, Nicolas vivait comme boulanger à Rochefort. Il n'avait pas de plus grand plaisir que de gâter et protéger les enfants, lui qui n'avait pas eu la chance de voir grandir les siens. Rapidement, Nicolas fait l'unanimité autour de lui pour sa gentillesse, son amabilité mais aussi son érudition, sa foi et sa piété. Il fait montre de générosité en donnant selon ses pauvres moyens. Mais l'aristotélisme n'est pas solidement ancré, à Rochefort, et Nicolas passe pour un illuminé et un naïf. Mais il n'en a cure, pardonne à qui le méprise et continue à déborder de gentillesse et de générosité.

Un jour, voulant protéger un enfant qui avait volé le boucher pour se nourrir, Nicolas reçoit un coup de couteau. Il est transporté dans sa demeure, mais il y reste seul, mourant. Le lendemain matin, un dimanche à l'heure de la messe, il reparait à l'église. Sa blessure est guérie, sans même une cicatrice. Il traverse l'allée, droit vers l'autel. Il s'y agenouille sans prêter la moindre attention au curé et commence à prier. Le silence se fait dans l'église, plus personne n'ose bouger, que ce soit les membres ou les lèvres. Et au bout de quelques minutes, Nicolas se lève et part. Pour la deuxième fois dans son existence, sa Foi lui indique une nouvelle voie à suivre.


L'Apostolat

Pendant plusieurs mois, Nicolas va parcourir la région. De nombreuses légendes font état de guérisons d'enfants malades, mais aussi de dons sans communes mesure avec ses moyens. Il est arrivé un jour à Durbuy, sur les bords de l'Ourthe. Il a rassemblé les enfants sans prononcer une parole. Il a ouvert le petit sac qu'il portait à l'épaule et a commencé à distribuer les biscuits. Le sac semblait bien petit pour nourrir autant d'enfants. Mais à la surprise générale, il eut non seulement assez de biscuits, mais quand il repartit son sac semblait toujours plein.

Son chemin ramène Nicolas à Liège. Pour la première fois, il va sur la tombe de sa femme et de ses enfants. La légende raconte qu'il pleuvait mais que Nicolas était épargné par les gouttes. Il retourne au séminaire et achève sa formation pour devenir curé. Il est ordonné prêtre le 15 avril 1018. Il retourne alors à Rochefort pour devenir le curé de la paroisse.

Pendant trois ans, Nicolas va mener la paroisse avec douceur et fermeté. Avant lui, les paroissiens pratiquaient plus par tradition que par conviction. Mais devant un tel exemple de bonté, de générosité et de ferveur, ils se remirent à avoir la Foi ! Et Nicolas suscita nombre de vocations religieuses dans le village, mais aussi alentours.


La tradition

Nicolas s'éteint le 6 décembre 1021. A Rochefort, l'émoi fut important. Nicolas était aimé et respecté de tous. Les enfants furent si tristes de perdre un tel guide et protecteur que l'apprenti boulanger du village leur offrit des biscuits à la canelle pour tenter d'apaiser leur chagrin.

Depuis ce jour, tous les ans à la même date, les gens de Rochefort offre des gateaux aux enfants. La tradition s'est rapidement étendue aux villages alentours pour à toute la région, des Flandres à l'Alsace. Saint Nicolas est considéré comme le protecteur des enfants.

Code:
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[color=black][b]L'enfance et l'adolescence[/b]

Nicolas Dury-Damour est né en mars de l'année 955 à Achouffe, en Ardenne, diocèse de Liège.

Les Dury-Damour sont de petite noblesse non fieffée. Nicolas est élevé dans un bon milieu. Il apprend à lire et à écrire. Sa constitution fragile ne lui permet pas d'exceller dans les exercices de combat, mais il impressionne par sa maîtrise du grec et du latin. Le curé du village lui fait lire les textes sacrés. Le petit Nicolas est fasciné par Aristote et Christos, et il envisage de suivre la voie de l'Eglise. Il intègre donc le séminaire à Liège.

C'est dans cette ville qu'il fait la connaissance de Geneviève. Il en tombe fou amoureux et se retrouve face à un dilemme : sa foi ou son amour. Si la mystique aristotélicienne le fascine toujours autant, la rigidité de certains professeurs le font douter de la sainteté de ceux qui se disent ses maîtres. L'annonce de la mort de sa mère est pour lui un choc terrible. Aussi Nicolas quitte-t-il le séminaire avant de prononcer ses voeux pour vivre avec Geneviève. Il demeurent tous deux à Liège quelques mois, Nicolas travaille comme écrivain public grâce à l'instruction des moines. Mais il étouffe dans la grande ville, et les collines ardennaises lui manquent. Ils décident de rejoindre le père de Nicolas à Achouffe.


[b]La souffrance[/b]

En chemin vers Achouffe avec sa jeune épouse, Nicolas apprend le décès de son père. Ce nouveau coup est rude, mais Nicolas s'en sort grâce à l'amour de Geneviève et surtout grâce à une foi solide. Il reprend les affaires de son père comprenant de nombreuses forêts, des chasses et une mine d'ardoise. La richesse est là, de même que le bonheur quand Geneviève lui donne deux bons enfants.

En septembre 987, Geneviève retourne à Liège pour voir sa famille. Retenu par ses affaires, Nicolas reste à Achouffe. Deux semaines plus tard, il apprend que sa femme et ses deux fils sont morts noyés dans la Meuse quand le bateau qui les faisait traverser a sombré. C'est le coup fatal. Nicolas manque perdre la raison, mais sa foi le sauve ! Il est convaincu que sa femme et ses enfants vont prendre place à la droite d'Aristote. Alors, libéré de toutes contingences terrestres, il laisse là ses affaires, sa richesse et part. A ce moment, on perd sa trace.


[b]L'accident[/b]

La Légende de Saint-Nicolas, relatée par François de Villeret, nous apprend qu'au début du XIe, Nicolas vivait comme boulanger à Rochefort. Il n'avait pas de plus grand plaisir que de gâter et protéger les enfants, lui qui n'avait pas eu la chance de voir grandir les siens. Rapidement, Nicolas fait l'unanimité autour de lui pour sa gentillesse, son amabilité mais aussi son érudition, sa foi et sa piété. Il fait montre de générosité en donnant selon ses pauvres moyens. Mais l'aristotélisme n'est pas solidement ancré, à Rochefort, et Nicolas passe pour un illuminé et un naïf. Mais il n'en a cure, pardonne à qui le méprise et continue à déborder de gentillesse et de générosité.

Un jour, voulant protéger un enfant qui avait volé le boucher pour se nourrir, Nicolas reçoit un coup de couteau. Il est transporté dans sa demeure, mais il y reste seul, mourant. Le lendemain matin, un dimanche à l'heure de la messe, il reparait à l'église. Sa blessure est guérie, sans même une cicatrice. Il traverse l'allée, droit vers l'autel. Il s'y agenouille sans prêter la moindre attention au curé et commence à prier. Le silence se fait dans l'église, plus personne n'ose bouger, que ce soit les membres ou les lèvres. Et au bout de quelques minutes, Nicolas se lève et part. Pour la deuxième fois dans son existence, sa Foi lui indique une nouvelle voie à suivre.


[b]L'Apostolat[/b]

Pendant plusieurs mois, Nicolas va parcourir la région. De nombreuses légendes font état de guérisons d'enfants malades, mais aussi de dons sans communes mesure avec ses moyens. Il est arrivé un jour à Durbuy, sur les bords de l'Ourthe. Il a rassemblé les enfants sans prononcer une parole. Il a ouvert le petit sac qu'il portait à l'épaule et a commencé à distribuer les biscuits. Le sac semblait bien petit pour nourrir autant d'enfants. Mais à la surprise générale, il eut non seulement assez de biscuits, mais quand il repartit son sac semblait toujours plein.

Son chemin ramène Nicolas à Liège. Pour la première fois, il va sur la tombe de sa femme et de ses enfants. La légende raconte qu'il pleuvait mais que Nicolas était épargné par les gouttes. Il retourne au séminaire et achève sa formation pour devenir curé. Il est ordonné prêtre le 15 avril 1018. Il retourne alors à Rochefort pour devenir le curé de la paroisse.

Pendant trois ans, Nicolas va mener la paroisse avec douceur et fermeté. Avant lui, les paroissiens pratiquaient plus par tradition que par conviction. Mais devant un tel exemple de bonté, de générosité et de ferveur, ils se remirent à avoir la Foi ! Et Nicolas suscita nombre de vocations religieuses dans le village, mais aussi alentours.


[b]La tradition[/b]

Nicolas s'éteint le 6 décembre 1021. A Rochefort, l'émoi fut important. Nicolas était aimé et respecté de tous. Les enfants furent si tristes de perdre un tel guide et protecteur que l'apprenti boulanger du village leur offrit des biscuits à la canelle pour tenter d'apaiser leur chagrin.

Depuis ce jour, tous les ans à la même date, les gens de Rochefort offre des gateaux aux enfants. La tradition s'est rapidement étendue aux villages alentours pour à toute la région, des Flandres à l'Alsace. Saint Nicolas est considéré comme le protecteur des enfants.[/color][/quote]
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Lieu RP : Aix-La-Chapelle

Feuille de personnage
Nom et prénom: Aimé Von Frayner dict UterPendragon
Paroisse: Toulon pardi !

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MessageSujet: Re: Saint Nicolas, ami des enfants   Saint Nicolas, ami des enfants EmptyDim 22 Fév 2009 - 13:10

Citation :
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Les Saints Anciens - Saint Nicolas - La Légende

Parchemin original en wallon, retrouvé à Tournai


Moi, François de Villeret, moine de Gembloux(1), veut faire passer à tous mes frères et soeurs de l'Eglise Aristotélicienne le message qui suit :

C'était en 1024 de l'ère de Notre Seigneur. Le père abbé m'avait envoyé en Ardenne car il avait un message pour un de ces amis dans le vieux pays d'Ardenne, du côté de La Roche. Alors, me voilà sur les routes, d'abord du Comté de Namur puis, par-delà la Meuse, sur les terres du Prince-Evêque de Liège, et de marcher tout au long du jour, et de chercher une maison ou les gens veulent bien de moi pour la nuit.

Je marche ainsi d'un bon pas pendant huit jour, et me voilà dans les environs de Rochefort. Comme c'est une très belle ville, je me dis que je pourrais y rester quelques jours, pour me reposer. Je rentre dans une auberge, bois une bière et commence à parler avec les gens. Ils ne sont pas fou, ils voient bien que je suis un homme d'église. Alors ils me parlent de leur curé.

Cet homme était boulanger. ce qu'il préfèrait, c'était les beau et grands sourires des garçons et des filles quand il leur donnait des noeuds(2). On l'appellait Nicolas, mais personne ne connaissait sont vrai nom de famille. Un jour, il voit un garçon qui court hors de la boucherie, et le boucher qui lui court après. Il sort de sa boutique, attrape le garçon et demander au boucher ce qui ce passe. Le garçon avait volé un boudin, et le coucher était près sortir les tripes du garçon (3). Nicolas, qui sait bien que le garçon est d'une famille misérable, sans problèmes mais sans argent, essaye de retenir le boucher pour que le garçon s'enfuie. Alors, c'est lui qui prend le couteau du boucher dans le ventre.

Toute la nuit, on pense qu'il va mourir, tout seul dans sa maison, car il vivait seul. Mais le lendemain, aux matines, il entre à l'église, frais comme un gardon ! Ses vêtements étaient encore démis du couteau, mins sur son ventre, plusrien, même pas une cicatrice. I s'est accroupi devant l'autel, a prié et alors s'en est allé. Dans les mois qui ont suivi, les gens du village ont beaucoup entendu des fables sur un Nicolas, on disait qu'il aimait les enfants et leurs donnait des petits gâteaux. Un jour, il est revenu, il avait été jusqu'à Liège, et était devenu curé ! Le vieux curé lui a laissé sa place.

Trois ans plus tard, Nicolas est mort. C'était le 6 décembre. Depuis ce jour-là, les gens du village donnent aux jeunes des gâteaux le 6 décembre, pour se souvenir de Nicolas. Et cette coutume commence à prendre dans les villages des environs.


Notes :
(1) Gembloux est une ville du "roman païs" du Duché de Brabant, à quelques kilomètres de mon lieu de naissance. C'est une abbaye puissante et un petit comté autonome.
(2) les "neujes" sont des pâtisseries en forme de nœud
(3) il y a un jeu de mot avec "tripes" qui est difficile à rendre en français

Code:
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[color=black][i]Parchemin original en wallon, retrouvé à Tournai [/i]


[b]Moi, François de Villeret, moine de Gembloux(1), veut faire passer à tous mes frères et soeurs de l'Eglise Aristotélicienne le message qui suit :[/b]

C'était en 1024 de l'ère de Notre Seigneur. Le père abbé m'avait envoyé en Ardenne car il avait un message pour un de ces amis dans le vieux pays d'Ardenne, du côté de La Roche. Alors, me voilà sur les routes, d'abord du Comté de Namur puis, par-delà la Meuse, sur les terres du Prince-Evêque de Liège, et de marcher tout au long du jour, et de chercher une maison ou les gens veulent bien de moi pour la nuit.

Je marche ainsi d'un bon pas pendant huit jour, et me voilà dans les environs de Rochefort. Comme c'est une très belle ville, je me dis que je pourrais y rester quelques jours, pour me reposer. Je rentre dans une auberge, bois une bière et commence à parler avec les gens. Ils ne sont pas fou, ils voient bien que je suis un homme d'église. Alors ils me parlent de leur curé.

Cet homme était boulanger. ce qu'il préfèrait, c'était les beau et grands sourires des garçons et des filles quand il leur donnait des noeuds(2). On l'appellait Nicolas, mais personne ne connaissait sont vrai nom de famille. Un jour, il voit un garçon qui court hors de la boucherie, et le boucher qui lui court après. Il sort de sa boutique, attrape le garçon et demander au boucher ce qui ce passe. Le garçon avait volé un boudin, et le coucher était près sortir les tripes du garçon (3). Nicolas, qui sait bien que le garçon est d'une famille misérable, sans problèmes mais sans argent, essaye de retenir le boucher pour que le garçon s'enfuie. Alors, c'est lui qui prend le couteau du boucher dans le ventre.

Toute la nuit, on pense qu'il va mourir, tout seul dans sa maison, car il vivait seul. Mais le lendemain, aux matines, il entre à l'église, frais comme un gardon ! Ses vêtements étaient encore démis du couteau, mins sur son ventre, plusrien, même pas une cicatrice. I s'est accroupi devant l'autel, a prié et alors s'en est allé. Dans les mois qui ont suivi, les gens du village ont beaucoup entendu des fables sur un Nicolas, on disait qu'il aimait les enfants et leurs donnait des petits gâteaux. Un jour, il est revenu, il avait été jusqu'à Liège, et était devenu curé ! Le vieux curé lui a laissé sa place.

Trois ans plus tard, Nicolas est mort. C'était le 6 décembre. Depuis ce jour-là, les gens du village donnent aux jeunes des gâteaux le 6 décembre, pour se souvenir de Nicolas. Et cette coutume commence à prendre dans les villages des environs.


[b]Notes : [/b]
(1) Gembloux est une ville du "roman païs" du Duché de Brabant, à quelques kilomètres de mon lieu de naissance. C'est une abbaye puissante et un petit comté autonome.
(2) les "neujes" sont des pâtisseries en forme de nœud
(3) il y a un jeu de mot avec "tripes" qui est difficile à rendre en français[/color] [/quote]
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