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 Saints Quirico et Giulitta

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AuteurMessage
Richelieu1
Cardinal Archevêque d'Aix-en-Provence
Richelieu1


Lieu RP : Brignoles

Feuille de personnage
Nom et prénom: Ludovi de Sabran
Paroisse: Brignoles

Saints Quirico et Giulitta  Empty
MessageSujet: Saints Quirico et Giulitta    Saints Quirico et Giulitta  EmptyJeu 31 Mar 2011 - 22:02

Citation :
Saints Quirico et Giulitta  Badgesaintofficenc8
Les Saints Anciens - Saints Quirico et Giulitta

(? – 304)


La Fuite de Turquie

Giulitta, mère de Quirico fut veuve lorsque son fils n’était encore qu'un enfant. En étant de famille Noble et par conséquent riche elle put se permettre d'élever Quirico sans trop de problèmes, mises à part les mauvaises langues qui sévissaient autour d'elle. Ils vivaient en Turquie dans la ville d'Iaconio pendant la période où Dioclétien poursuivait les aristotéliciens.
En s'étant convertie à l'Église Aristotélicienne et en ayant donné le baptême aristotélicien a son fils, elle craignait pour leur vie. Aussi elle décida d'offrir toutes ses richesses à la ville et de fuir avec son fils de trois ans qui ne parlait pas encore.


Le Long Pèlerinage

Elle Partie à Massa là où elle savait qu'un ami s'était retiré et vivait du commerce. Sans argent et sans nourriture, elle entama un long chemin qui lui fit vivre un grand nombre d'aventures.
Après quelques jours de voyage, elle croisa des brigands sur les rivages d'un lac qui en la voyant belle, jeune et sans protection pensèrent s’emparer de sa bourse et de sa vertu.
Giulitta se voyant encerclée se mit à genoux et pria pour son salut et pour que le Très Haut protège au moins l'enfant.
Lorsque les brigands s'approchèrent pour la violer, l’eau du lac se mit à bouillonner et un feu venu du ciel s'abattit tout près des brigands effrayés. Giulita voulut fuir avec son enfant qui ne parlait toujours pas mais une voix dit :

Citation :
« Vous serez jugés un à un lors de votre mort, mais il n’en sera pas toujours ainsi. En effet, J'ai accordé à la créature à laquelle Je n'ai pas donné un nom la possibilité de montrer que ce qu’elle dit est vrai, selon lequel le plus fort doit dominer le faible. Si, encore une fois, un si grand nombre d’humains s'éloignaient de Moi, alors ce que tu as vu dans le reflet de l'eau s'accomplira. Si, de nouveau, vous oubliez l' amour que J'éprouve pour vous et si vous ne M'aimez plus, tout cela se confirmera. Si les paroles d'Aristote et de Christos ne sont plus écoutées, Je détruirai le monde et la vie, puisqu'il n'y aura plus d'amour pour gouverner. Alors, fais en sorte de ne pas laisser Mes mots se perdre et sombrer dans l'oubli. »

Les brigands suite à ces mots tombèrent à genoux et demandèrent à être baptisés par la femme. Giulitta ne pouvait pas le faire mais elle leur dit qu’en suivant la route, ils trouveraient une Abbaye où ils pourraient expier leurs péchés et être donc baptisés dans la Foi.
Les brigands leur donnèrent de la nourriture et les protégèrent. Tous se mirent en route. Après quatre jours de route, ils rencontrèrent un moine de l’abbaye qui fut mis au courant des faits. Il demanda aux brigands maintenant rachetés de rejoindre son ordre afin de les rendre serviteurs de Christos et d'Aristote. Les voleurs acceptèrent et demandèrent de pouvoir faire écrire le miracle auquel ils avaient assisté avec la femme. Cette dernière leur dit :

Citation :
Ecrivez les, écrivez aussi les avertissement et les enseignement tirés de votre nouvelle vie.

Arrivée en Italie, elle rencontra de nouveaux problèmes dans la république Sérénissime de Venise, là où les gens ne mourrait pas de faim, vivait dans le luxe et l'opulence et se laissait aller à une vie d'oisiveté.
Elle décida de s'arrêter quelques jours dans la capitale pour comprendre si cet état de fait était seulement un instant de faiblesse des habitants ou si par contre ils perdaient vraiment la foy en Dieu. Après quelques jours il lui fut clair que la paresse avait pris place dans le coeur des gens et en ne sachant pas quoi faire elle alla sur la halle pour prêcher la Foi en Aristote. Personne ne semblait l'écouter.
Après des heures de prédication, alors qu’elle était fatiguée et épuisée une lumière venu du Ciel envahit la place et Giullita se mit à briller d'une lumière resplendissante. Une femme du nom de Raffaella qui ne voulait pas croire en une manifestation divine s'écria :

Citation :
C'EST UNE SORCIÈRE ! ! ! CONDAMNONS-LA À MORT ! ! !

Et de la bouche de Giullita sortirent ces mots, prononcés d’une voix profonde et qui n’avait rien d’humain :

Citation :
Raffaella, cet instant est fait de joie. Tu ne croyais pas. Mais Maintenant que tu as vu, ta conviction te sauvera et montrera à beaucoup le chemin que j'ai tracé pour vous. ”
“ Père, pourquoi ne vous êtes vous jamais montré, pourquoi ne m'avoir jamais parlé ? ”
“ Je t'ai parlé ma fille, mais tes oreilles ne voulaient pas écouter, je me suis montré à toi mais tes yeux ne voulaient pas voir, je t'ai prise par la main mais tu ne l'a pas serrée ; alors je me suis révélé à ton coeur et tu m'as cru.
Je t'ai laissé choisir puisque tu étais libre. Tu ne voulais pas m'accueillir, je ne me suis pas imposé.
Beaucoup de questions s'agitent encore en toi mais soit patiente, je te répondrai tout au fond de ton coeur lorsque le moment viendra.
Si tu tombes, je te relèverai.

Ensuite la femme tomba à genoux et pria Giulitta de la pardonner et de lui rendre la Foi.
Cette dernière arriva enfin à Massa et après s'être réconfortée dans une taverne, elle rejoignit son cher ami dans une maison du centre de la ville.
Cependant lorsque il ouvrit la porte, des soldats de l’empereur Dioclétien envoyés dans la ville s’emparèrent d’elle et la menèrent au tribunal présidé par Alexandre pour la faire condamner ou pour faire en sorte qu'elle renonce à sa foi.


Le Martyre

Alexandre tint un procès sommaire et après avoir discuté avec l’accusée, il lui dit qu’elle devait accepter de sacrifier sa foy au moins pour son fils. Bien évidemment Giulitta refusa et le juge décida alors de la forcer à renier Dieu par trois jours et trois nuits de coups de fouet.
Alexandre assistait au à martyre avec l'enfant Quirico à ses côtés.
Mais plus la femme recevait de coups, plus elle se renforçait dans sa croyance en Dieu. Et au troisième jour, alors qu'Alexandre lui disait : “ repentis-toi et renonce à ta foi fait le pour l'enfant ”, Quirico qui pourtant ne savait pas parler prit soudain la parole :

Citation :
Je suis Aristotélicien aussi !

Le Juge effrayé des mots de l'enfant le jeta à terre. Sa tête frappa violemment le sol et il mourut assitôt. Alexandre dit :

Citation :
JSi tu avais renoncé à ta foi, ceci ne serait pas arrivé !

Mais Giulitta ne se démonta pas, elle pria et remercia le Très Haut puisque son fils l'avait précédé dans le Paradis Solaire.
Le Gouverneur plein de colère fit décapiter la mère par le bourreau.
Deux femmes qui assistèrent à la scène en cachette vinrent pendant la nuit voler les corps et elles les cachèrent dans les alentours de la ville de Massa. A la mort d'Alexandre ils les montrèrent et chantèrent les éloges de la femme et de l’enfant qui bien vite devinrent les vrais saints protecteurs de la ville de Massa.

Reliques : Fouet du martyre et corps des Saints conservés à Massa.

Code:
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[color=black](? – 304)


[b]La Fuite de Turquie[/b]

Giulitta, mère de Quirico fut veuve lorsque son fils n’était encore qu'un enfant. En étant de famille Noble et par conséquent riche elle put se permettre d'élever Quirico sans trop de problèmes, mises à part les mauvaises langues qui sévissaient autour d'elle. Ils vivaient en Turquie dans la ville d'Iaconio pendant la période où Dioclétien poursuivait les aristotéliciens.
En s'étant convertie à l'Église Aristotélicienne et en ayant donné le baptême aristotélicien a son fils, elle craignait pour leur vie. Aussi elle décida d'offrir toutes ses richesses à la ville et de fuir avec son fils de trois ans qui ne parlait pas encore.


[b]Le Long Pèlerinage[/b]

Elle Partie à Massa là où elle savait qu'un ami s'était retiré et vivait du commerce. Sans argent et sans nourriture, elle entama un long chemin qui lui fit vivre un grand nombre d'aventures.
Après quelques jours de voyage, elle croisa des brigands sur les rivages d'un lac qui en la voyant belle, jeune et sans protection pensèrent s’emparer de sa bourse et de sa vertu.
Giulitta se voyant encerclée se mit à genoux et pria pour son salut et pour que le Très Haut protège au moins l'enfant.
Lorsque les brigands s'approchèrent pour la violer, l’eau du lac se mit à bouillonner et un feu venu du ciel s'abattit tout près des brigands effrayés. Giulita voulut fuir avec son enfant qui ne parlait toujours pas mais une voix dit :

[quote][color=black]« Vous serez jugés un à un lors de votre mort, mais il n’en sera pas toujours ainsi. En effet, J'ai accordé à la créature à laquelle Je n'ai pas donné un nom la possibilité de montrer que ce qu’elle dit est vrai, selon lequel le plus fort doit dominer le faible. Si, encore une fois, un si grand nombre d’humains s'éloignaient de Moi, alors ce que tu as vu dans le reflet de l'eau s'accomplira. Si, de nouveau, vous oubliez l' amour que J'éprouve pour vous et si vous ne M'aimez plus, tout cela se confirmera. Si les paroles d'Aristote et de Christos ne sont plus écoutées, Je détruirai le monde et la vie, puisqu'il n'y aura plus d'amour pour gouverner. Alors, fais en sorte de ne pas laisser Mes mots se perdre et sombrer dans l'oubli. »[/color][/quote]

Les brigands suite à ces mots tombèrent à genoux et demandèrent à être baptisés par la femme. Giulitta ne pouvait pas le faire mais elle leur dit qu’en suivant la route, ils trouveraient une Abbaye où ils pourraient expier leurs péchés et être donc baptisés dans la Foi.
Les brigands leur donnèrent de la nourriture et les protégèrent. Tous se mirent en route. Après quatre jours de route, ils rencontrèrent un moine de l’abbaye qui fut mis au courant des faits. Il demanda aux brigands maintenant rachetés de rejoindre son ordre afin de les rendre serviteurs de Christos et d'Aristote. Les voleurs acceptèrent et demandèrent de pouvoir faire écrire le miracle auquel ils avaient assisté avec la femme. Cette dernière leur dit :

[quote][color=black]Ecrivez les, écrivez aussi les avertissement et les enseignement tirés de votre nouvelle vie.[/color][/quote]

Arrivée en Italie, elle rencontra de nouveaux problèmes dans la république Sérénissime de Venise, là où les gens ne mourrait pas de faim, vivait dans le luxe et l'opulence et se laissait aller à une vie d'oisiveté.
Elle décida de s'arrêter quelques jours dans la capitale pour comprendre si cet état de fait était seulement un instant de faiblesse des habitants ou si par contre ils perdaient vraiment la foy en Dieu. Après quelques jours il lui fut clair que la paresse avait pris place dans le coeur des gens et en ne sachant pas quoi faire elle alla sur la halle pour prêcher la Foi en Aristote. Personne ne semblait l'écouter.
Après des heures de prédication, alors qu’elle était fatiguée et épuisée une lumière venu du Ciel envahit la place et Giullita se mit à briller d'une lumière resplendissante. Une femme du nom de Raffaella qui ne voulait pas croire en une manifestation divine s'écria :

[quote][color=black]C'EST UNE SORCIÈRE ! ! ! CONDAMNONS-LA À MORT ! ! ![/color][/quote]

Et de la bouche de Giullita sortirent ces mots, prononcés d’une voix profonde et qui n’avait rien d’humain :

[quote][color=black]Raffaella, cet instant est fait de joie. Tu ne croyais pas. Mais Maintenant que tu as vu, ta conviction te sauvera et montrera à beaucoup le chemin que j'ai tracé pour vous. ”
“ Père, pourquoi ne vous êtes vous jamais montré, pourquoi ne m'avoir jamais parlé ? ”
“ Je t'ai parlé ma fille, mais tes oreilles ne voulaient pas écouter, je me suis montré à toi mais tes yeux ne voulaient pas voir, je t'ai prise par la main mais tu ne l'a pas serrée ; alors je me suis révélé à ton coeur et tu m'as cru.
Je t'ai laissé choisir puisque tu étais libre. Tu ne voulais pas m'accueillir, je ne me suis pas imposé.
Beaucoup de questions s'agitent encore en toi mais soit patiente, je te répondrai tout au fond de ton coeur lorsque le moment viendra.
Si tu tombes, je te relèverai.[/color][/quote]

Ensuite la femme tomba à genoux et pria Giulitta de la pardonner et de lui rendre la Foi.
Cette dernière arriva enfin à Massa et après s'être réconfortée dans une taverne, elle rejoignit son cher ami dans une maison du centre de la ville.
Cependant lorsque il ouvrit la porte, des soldats de l’empereur Dioclétien envoyés dans la ville s’emparèrent d’elle et la menèrent au tribunal présidé par Alexandre pour la faire condamner ou pour faire en sorte qu'elle renonce à sa foi.


[b]Le Martyre[/b]

Alexandre tint un procès sommaire et après avoir discuté avec l’accusée, il lui dit qu’elle devait accepter de sacrifier sa foy au moins pour son fils. Bien évidemment Giulitta refusa et le juge décida alors de la forcer à renier Dieu par trois jours et trois nuits de coups de fouet.
Alexandre assistait au à martyre avec l'enfant Quirico à ses côtés.
Mais plus la femme recevait de coups, plus elle se renforçait dans sa croyance en Dieu. Et au troisième jour, alors qu'Alexandre lui disait : “ repentis-toi et renonce à ta foi fait le pour l'enfant ”, Quirico qui pourtant ne savait pas parler prit soudain la parole :

[quote][color=black]Je suis Aristotélicien aussi ![/color][/quote]

Le Juge effrayé des mots de l'enfant le jeta à terre. Sa tête frappa violemment le sol et il mourut assitôt. Alexandre dit :

[quote][color=black]JSi tu avais renoncé à ta foi, ceci ne serait pas arrivé ![/color][/quote]

Mais Giulitta ne se démonta pas, elle pria et remercia le Très Haut puisque son fils l'avait précédé dans le Paradis Solaire.
Le Gouverneur plein de colère fit décapiter la mère par le bourreau.
Deux femmes qui assistèrent à la scène en cachette vinrent pendant la nuit voler les corps et elles les cachèrent dans les alentours de la ville de Massa. A la mort d'Alexandre ils les montrèrent et chantèrent les éloges de la femme et de l’enfant qui bien vite devinrent les vrais saints protecteurs de la ville de Massa.

[b]Reliques : [/b]Fouet du martyre et corps des Saints conservés à Massa. [/color][/quote]
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